Pour qu’une surface en béton de parement soit telle que les parties concernées l’ont imaginée, il faut veiller à trois points : à la maîtrise du processus de l’idée jusqu’à l’achèvement, à la mise en œuvre et à la coopération des parties concernées.
Pour qu’une surface en béton de parement soit telle que les parties concernées l’ont imaginée, il faut veiller à trois points : à la maîtrise du processus de l’idée jusqu’à l’achèvement, à la mise en œuvre et à la coopération des parties concernées.
1. Processus : de l’étude initiale visant à déterminer si le désir de béton de parement du maître d’ouvrage est réalisable sur les plans technique et financier ainsi qu’en termes de calendrier jusqu’à l’élimination du dernier défaut, l’objectif « béton de parement » doit être poursuivi de manière systématique.
2. Mise en œuvre : les caractéristiques du béton de parement, telles que la structure, la teinte, la planéité ou la porosité, etc., sont soumises à un grand nombre de facteurs d’influence qui sont principalement liés à la mise en œuvre, mais aussi aux conditions météorologiques. Ces facteurs d’influence doivent être pilotés de telle sorte que la qualité définie du béton de parement soit atteinte.
3. Coopération des parties concernées : une construction en béton de parement ne peut être réalisée qu’en équipe. Du maître d’ouvrage aux ouvriers sur place en passant par les concepteurs, il faut donc s’assurer que tous poursuivent les mêmes objectifs et partent des mêmes hypothèses. Cela s’applique en particulier aux classes de surface de béton apparent CBA 3 et CBA S.